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Prendre soin de sa santé

Ce qui suit est une ébauche, plusieurs parties d'un futur livre gratuit en cours d'écriture.

Pour accéder au travail élaboré, les articles dignes d'intérêt sont sur le groupe public "Hygiénisme réaliste : santé holistique et paléo, dont les articles phares sont là : https://www.facebook.com/groups/vivrepaleo/files

 

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Introduction : pourquoi s'intéresser à la santé?

Je ne suis pas arrivée à ce sujet par hasard, mais par obligation. A force d'ignorer mes besoins et de lutter contre monn corps, je suis arrivée à un niveau de maladie extrême... là le seul choix, c'était dépérir ou tout changer.
Si mon exemple est atypique, je vois tout de même autour de moi des tas d'autres gens s'enfoncer dans des soucis de santé par peur de remettre en cause leurs habitudes et leurs croyances.

Quand on arrive à l'extrème, on se rend compte que sa santé est la seule réelle possession d'un être.
Notre santé est la seule chose que personne ne peut nous réclamer, celle qui nous reste quand on n'a plus rien, et elle seule nous permet de vivre. Une personne en excellente santé pourra toujours trouver de quoi subsister dans la nature ou dans la civilisation, et pourra vivre heureuse en se contentant de très peu.

Dans la relation avec ses proches, c'est la santé qui fait tout. Toutes les déconvenues, tous les conflits, tous les fossés entre les gens viennent d'une santé mentale détériorée... ce qui n'est pas possible si la santé physique est excellente. *
 
Tout problème de société devrait aussi être abordé d'abord du point de vue de la santé.
J'ai été militante pour des actions individuelles, puis je me suis rendu compte que la majorité suivait la majorité. J'ai été militante politique, puis je me suis rendu compte que les arguments logiques ne passaient pas : la pensée est malade! J'ai tenté de promouvoir le meilleur outil de développement personnel, et j'ai vu les blessures bloquer la pensée : l'émotion est malade. Pour changer les choses à grande échelle, il faut aller à la source du problème : la maladie qui détruit la sérénité, le raisonnement logique et l'autonomie de chaque individu.

Ca peut paraître très abstrait tout ça, en fait c'est tout simple : le cerveau est un engin vivant, quand il fonctionne correctement il produit des idées correctes, et s'il produit n'importe quoi c'est qu'il est abimé.

Aucun niveau n'est indépendant : pour aller bien soi-même, on a besoin que l'entourage aille bien, et pour ça il faut une société qui va bien, ceci grâce à des individus qui vont bien... C'est un cercle vertueux qu'on vise, tandis que le mouvement global actuel va plutôt dans l'autre sens.

Alors quelles que soient vos priorités dans la vie, et que vos préoccupations soient plutôt centrées sur vous-même, votre entourage proche ou la société, vous avez le même but que moi : favoriser la santé.



1) Une recherche de vérité

La santé, un sujet surtout politique et économique

En politique et économie (les deux sont si intriqués qu'on ne peut pas sérieusement viser l'un sans l'autre), la santé permet de réfléchir... rend plus difficile la manipulation... réduit le pouvoir de ceux qui le détiennent...
Il en faut cependant suffisamment pour produire ce que désirent les détenteurs du pouvoir et pour maintenir le mythe du progrès, un des pilliers indispensables de ce pouvoir : les gens doivent croire que le système leur est favorable, pour continuer à l'alimenter.
C'est donc un enjeu majeur pour le pouvoir en place, qui le pousserait logiquement à favoriser l'apparence de la santé et sa détérioration en réalité.

L'exemple de l'espérance de vie est très parlant.
Au lieu de donner la longévité moyenne clairement, ce qui donnerait :  "en moyenne les personnes nées en 1900 ont vécu tant d'années", on parle d'espérance de vie pour un calcul alambiqué qui n'a rien à voir avec une quelconque espérance, basé sur le nombre de décès par tranche d'âge. On ne peut pas donner la longévité future des personnes actuellement en vie, seulement celle des générations entièrement décédées à ce jour. Le calcul de l'espérance de vie dépend de la longévité des personnes ayant vécu une longue vie parmi les personnes nées il y a près d'un siècle et des morte prématurées depuis. D'où l'impact très important de la mortalité infantile sur ce calcul : là les morts de personnes nées plus tard entrent en compte si elles meurrent jeunes.
Ainsi quand on dit qu'en 2016 l'espérance de vie est d'environ 83 ans, cela reflète surtout la longévité des personnes nées autour de 1933! Calculer "l'espérance de vie à la naissance" permet à la fois de renforcer cette idée qu'on parle de nos enfants (alors qu'on parle surtout de nos grands-parents) et de faire passer la baisse de la mortalité infantile pour un signe de bonne santé des adultes.
La confusion est amplifiée par l'utilisation du même terme "espérance de vie" pour désigner la durée de vie statistiquement probable quand on a une maladie incurable, cas où le terme est approprié.

En mettant en avant ce calcul, qui donne l'impression que la santé s'améliore dans les années récentes sans que ça corresponde à une quelconque réalité statistique, on évite le sujet des maladies chroniques. Sans impact sur la longévité des anciens mais très probablement causes d'une baisse de la longévité des jeunes d'aujourd'hui (qui ne pourra être constatée que dans plusieurs décennies), elles sont très présentes depuis le boum des différentes pollutions depuis la seconde guerre mondiale : produits phytosanitaires, additifs alimentaires toxiques, restes de produits chimiques utilisés durant la guerre, incidents et fuites nucléaires, etc.

Si notre longévité sera certainement moins bonne que ce qu'on nous suggère, il s'agit là d'un détail : le but d'une vie, ce n'est pas de collectionner les années. Ce qui compte, c'est comment on vit, et donc notre santé. La longévité n'est qu'un indice parmi d'autres de la santé, mais l'essentiel finalement, c'est le bien-être. Tant qu'on a peu de problèmes de santé, on se laisse avoir par l'idée que la mort est la seule chose "grave" dans la maladie. Tous les malades chroniques qui souffrent beaucoup de leurs maladies choisiraient sans hésiter de raccourcir leur vie si cela leur assurait une bonne qualité de vie en échange. Le suicide des malades chronique est l'expression la plus claire de ce fait : si on ne vit pas correctement, on ne veut pas continuer à vivre. Normal! Ce qui fait qu'on accepte d'endurer une souffrance intense, c'est l'espoir qu'elle va diminuer. Beaucoup de malades chroniques en grande souffrance tiennent le coup durant des décennies parce qu'ils croient aux "progrès de la science".

Quand on cherche des informations sur la santé, que ce soit l'épineuse question des différents vaccins ou un simple apport journalier correct en calcium, on se trouve confronté aux conflits d'intérêts.
Les lobbys industriels, qui détiennent en grande partie le pouvoir réel, sont ceux qui payent des "scientifiques" pour abreuver les "revues scientifiques" de données allant dans le sens qui les arrange. Le pouvoir en place a toujours entravé la science, et comme Galilée, les vrais scientifiques ont toujours du mal à se faire entendre.
Les industries pharmaceutique et agroalimentaire font partie des plus puissantes, et reposent toutes deux sur la mauvaise santé de la population : plus on est malade, plus on prend de médicaments, et plus on mange par addiction plutôt que par besoin.

Les approches alternatives ne sont pas pour autant plus fiables : elles manquent de moyens pour faire des études fiables, elles sont aussi blindées de conflits d'intérêts économiques, et on y trouve en plus des conflits d'intérêt idéologique (avec par exemple des études de racistes sur l'intelligence des peuples, ou de veganes sur la viande).



La conclusion générale pourrait être : nous n'avons pas les moyens de nous faire une opinion valide, alors il ne sert à rien d'essayer. Ca, c'est la version pessimiste. Une version optimiste pourrait être : mon opinion est vraie même si je ne peux pas avoir de certitude. On la retrouve chez des croyants qui ne retiennent que les informations allant dans le sens qui leur plait. Le réalisme, c'est : on ne peut pas être sûrs à 100% de quoi que ce soit, mais on peut avoir une opinion éclairée qui nous sert de guide sans pour autant qu'on s'y accroche. Par exemple, je suis quasiment sûre aujourd'hui qu'il est mieux de se passer entièrement de céréales que d'en manger la dose recommandée par l'anses. J'ai de bonnes raisons de le penser, aucune bonne raison de penser le contraire malgré mes recherches, c'est donc une opinion éclairée, très probablement valide. Cependant, si un jour j'ai des raisons de penser l'inverse, je ne vais pas me braquer ni remettre en cause tout ce que j'ai appris, je me ferai juste une nouvelle opinion prenant en compte ces arguments nouveaux, qui pourra différer de celle que j'ai aujourd'hui.

En effet, la science est réfutable : c'est parce qu'on accepte de s'être trompé qu'on peut s'approcher toujours plus de la vérité. A l'inverse d'une doctrine, en science tout élément qui ne rentre pas dans une théorie prouve que celle-ci est fausse et oblige à intégrer le nouvel élément dans une nouvelle hypothèse cohérente.

C'est la raison pour laquelle j'ai mis en avant la date de publication de ce livre électronique : je ne compte pas arrêter d'apprendre, donc ce que j'affirme aujourd'hui est suceptible d'être modifié, précisé, nuancé, abordé sous un autre angle ou même contredit dans de futures publications.


Nous formons une génération malade et désinformée, mais nous avons des moyens récents :
- des sources d'information très diverses et faciles d'accès, en particulier grâce à Internet
- un entrainement au raisonnement logique acquis durant la scolarité

Nous pouvons donc chacun nous former des opinions assez sûres, à condition d'entrer dans une démarche scientifique, c'est à dire de rechercher la vérité avec méthode sur chaque sujet :
- explorer les différents points de vue (ex. végétalisme bon pour la santé ou non)
- débusquer et ignorer les arguments illogiques (ex. la viande est inutile pour tous parce que je suis végé et en bonne santé)
- débusquer et ignorer les fausses informations (ex. les premiers humains étaient frugivores)
- évaluer l'impact de chaque argument correct sur la conclusion (ex. nécessité de la B12)

Pour savoir si une information a de bonnes chances d'être correcte, il faut prendre en compte tous les biais cités précédemment, en particulier les conflits d'intérêts économiques et idéologiques (ex. travaux de paléontologues ou de militans vegans). C'est souvent une autre discipline moins soumise à ces conflits qui répondra à la question (ex. végétalisme en éthologie).
Les études dites scientifiques sont souvent blindées de biais très visibles, il suffit alors de les décortiquer pour s'en rendre compte. (ex. étude du neu5gc). On en trouve beaucoup sur https://www.ncbi.nlm.nih.gov, et on dispose d'outils de traduction automatique en ligne. On ne peut se baser sur une étude unique, car elle risque bien plus d'avoir été falsifiée que si plusieurs expériences avec des financeurs différents donnent le même résultat.

Un moyen efficace consiste à s'arrêter sur les informations cohérentes chez les alternatifs pour vérifier si elles correspondent à des incohérences chez les classiques. Les alternatifs poitent une direction, mais on ne se base que sur les informations données par les sources censées être sûres pour débusquer leurs erreurs. Ainsi on découvre par soi-même et sans doute possible qu'il y a du grand n'importe quoi dans l'approche classique du diabète, du cancer, des tests des maladies infectieuses, du cholestérol, etc., etc.

Dans certains cas on n'a aucun moyen de connaître la réalité des faits, mais on peut comparer par exemple des statistiques avec des témoignages et des observations personnelles. Par exemple dans le cas des vaccins, les statistiques d'effets secondaires néfastes à court terme semblent unanimes, mais sont en totale contradiction avec les très nombreux témoignages.

La démarche scientifique demande donc énormément de travail, elle n'est adaptée que pour solutionner des problèmes importants. Pour les détails, je préfère me reposer sur les opinions de personnes dont j'ai pu constater la rigueur sur des sujets que j'ai évalués avec rigueur, et me passer d'opinion personnelle.


La multidisciplinarité, indispensable

L’auteur est important, non pas pour un titre ou un charisme, mais pour son point de vue. Quand un anthropologue et un militant vegan parlent de l’alimentation humaine, on n’a évidemment pas le même point de vue. En médecine, on a affaire à des médecins, qui se réfèrent à des études payées par l’industrie pharmaceutique… Pas les mieux placés pour parler de santé! Quand on cherche des informations d’organismes officiels, on a affaire à des gens qui s’occupent de politique, donc de pouvoir… pas de santé!
Il est donc intéressant d’aller chercher des informations dans des domaines moins attendus : pour le corps en paléontologie, ethnologie, anthropologie, biochimie, biologie, agronomie, sport, astronautique, histoire, botanique etc. plutôt qu’en médecine et nutrition, pour l’esprit plutôt en psychologie et spiritualité qu’en psychiatrie.

Plus que l’écrit, j’apprécie les documentaires vidéo et les « télé réalités » : je peux voir par moi-même la différence entre ce qui est dit et ce qui est filmé. Documentaires animaliers (Animaux trop humains, Planète animale...), télé-réalités de « survie » (The Island, Man vs Wild, Alone, Dual survival…), immersions dans d’autres cultures (Rendez-vous en terre inconnue, J’irai dormir chez vous…).
J’apprécie aussi beaucoup les plateformes de vidéos gratuites en ligne, qui permettent une grande liberté de parole et me servent surtout d’inspiration, avec des gens plus ou moins allumés comme Thierry Casasnovas ou Frédéric Delavier, ou très carrés comme Benjamin Derouich (Naturacoach).
Tout ça sert à la fois à découvrir des disciplines dans lesquelles on trouve des réponses aux questions trop épineuses ailleurs. Un exemple frappant, en nutrition on dit que ce sont les lipides qui font grossir alors que dès que l'élevage et l'ethnologie nous apprennent que ce sont les glucides qui servent à engraisser les animaux.
Ca sert aussi à dépasser des blocages psychologiques qui nous empêchent d’être objectifs. Voir la diversité des alimentations dans le monde par exemple peut faire dépasser des préjugés et des dégoûts.

L’évolution, point de départ de toute compréhension du vivant

Qu’on croit ou non qu’un être supérieur ou n’importe quoi agisse de façon volontaire sur la création des êtres vivants, la théorie de l’évolution est la seule qui explique tout ce qu’on observe. Dans les pays francophones nous ne sommes pas trop touchés par le créationnisme, Dieu merci… passez-moi l’expression. Celui-ci affirme que la nature est trop parfaite pour n’avoir pas été designée par un être intelligent… ce qui serait une théorie intéressante si elle n’oubliait pas que le créateur, lui aussi, a été créé !
Bref, passons aux choses sérieuses.
Darwin a non seulement expliqué ce qu’il observait en son temps, mais prédit de futures découvertes, tant il avait bien compris comment fonctionne la nature !

Ce qu’on nommme aujourd’hui sélection de la parentèle (retenez bien ça car TOUT repose là-dessus), il l’avait évoqué en parlant de sélection dans les famille, n’ayant pas encore les données génétiques. Rien de compliqué, et ça nuance juste légèrement la règle générale qu’il avait donnée : chaque être vivant ne cherche pas à se reproduire, mais à assurer la pérennité de ses gènes. Les fourmis ont une reine pondeuse, elles font tout pour que la reine continue à pondre. Les mammifères sociaux peuvent se consacrer à protéger les enfants de leurs frères et sœurs plutôt  de chercher à se reproduire eux-mêmes. Les lions et les babouins mâles exterminent les petits de leur nouveau harem pour accélérer la naissance de leurs propres petits. Les oiseaux orment des couples durables pour qu’un parent soit toujours présent pendant que l’autre va chercher à manger.

Quand on a compris ça, on a tout compris. La santé dans tout ça, c’est l’état normal, celui qui permet qu’un individu se consacre à sa mission naturelle : assurer la pérennité de ses gènes. Si une mutation n’est pas utile pour ce but unique, elle disparaitra rapidement car elle sera moins sélectionnée que les autres formes d’un gène. Les maladies génétiques héritées ne peuvent donc qu’être rares.

Dans un monde où l’on ne meurt quasiment plus par blessure, nous devrions théoriquement être tous en excellente santé.
Pourquoi n’est-ce pas le cas ? La réponse est hygiéniste !



Les microbes

Les indiens d'amérique nous ont appris lez principal sur l'infectiologie. Nous n'avons pas envoyé des bateaux remplis de mourrants, mais d'aventuriers en forme après 2 mois de voyage. Pourtant les natifs américains sont morts des suites d'infections transmises par ces aventuriers en forme.

Une proie et son prédateur évoluent parallèlement, les deux courant de plus en plus vite par exemple. Hôtes et parasites font de même. Le parasite est vraiment très dangereux si l'hôte n'a pas eu l'occasion de développer la bonne immunité. Sinon, comme le prédateur, il ne tue que les plus faibles et quelques malchanceux par hasard.

Bactéries, virus et champignons microscopiques sont des petits parasites. Petits et grands parasites, comme le reste de la création, ne veulent de bien ou de mal à personne, ils n'ont aucune intention de rendre malade leur hôte.
Ce qui les "intéresse" c'est la sélection naturelle : assurer la descendance de leurs gènes.

De rares parasites provoquent la mort de leur hôte dans leur cycle de reproduction. Le plus connu est la toxoplasmose, un protozoaire qui pousse la souris dans la gueule du chat pour s'y reproduire.
Mais la plupart des microbes ont besoin que l'hôte reste en vie, et même qu'il reste en bonne santé! Les microbes qui participent à la bonne santé de leur hôte sont appelés symbiotiques, probiotiques, endogènes... Les microbes qui sont nourris par l'hôte sans le déranger mais sans contrepartie sont appelés commensaux.
Quasiment tous les parasites sont neutres : tant qu'ils peuvent se transmettre entre leurs hôtes, peu leur importe que ceux-ci soient ou non en bonne santé. Mais ils ont un réel désavantage évoutif s'ils détruisent leurs hôtes! En simple, leur seul but sur terre est d'avoir plein de petits-enfants qui ne peuvent exister que dans des hôtes, ils ont donc aussi besoin que ces hôtes aient plein de petits-enfants.

On a appris à accuser les microbes de tous les maux, alors que ceux-ci sont des victimes collatérales : quand un humain meurt, ses parasites meurrent aussi! Et quand un humain est en trop mauvaise santé, il transmet moins ses parasites, leur permettant moins de se reproduire.
Il ne faudrait pas pour autant tomber dans l'angélisme : la santé de l'hôte n'est pas le but premier du parasite, et un système immunitaire trop performant ne lui convient pas. La plupart des microbes sont en symbiose avec le corps, c'est donnant-donnant. Les parasites ne sont pas en symbiose avec l'hôte, ils prennent sans donner. Un système immunitaire au top les éliminerait.

Pourquoi les microbes neutres font-ils parfois du mal à leur hôte?
Ils n'ont aucun intérêt à décimer la population ou affaiblir durablement une personne. S'ils le font, c'est un accident, dont ils ne sont pas responsables.
Les grandes épidémies décimant la population sont venues d'une proximité artificielle avec des animaux  : un microbe vivant dans un hôte animal se retrouve dans un hôte humain. Dans un contexte naturel, ça arrive fréquemment, mais pas assez pour changer la donne : l'hôte inadapté ne permet pas de survivre. Dans un élevage ou une ville pleine de rats, la proximité artificielle rend cette situation tellement courante qu'une mutation finit par permettent au parasite d'utiliser l'humain comme nouvel hôte. Dans ce cas-là l'hôte n'a pas évolué en même temps que le parasite, il n'y a plus l'équilibre qui existait entre l'animal et son parasite, qui assurait la survie des deux. Cet équilibre est long à se recréer, en pendant ce temps c'est l'hécatombe.
L'équilibre bien établi peut aussi être rompu pour d'autres raisons. On le voit avec le candida albicans, un champignon parfaitement inoffensif qui devient ingérable, pour des raisons d'hygiène de vie rompue : l'excès de glucides dans l'alimentation, la consommation d'antibiotiques, la présence artificielle de métaux toxiques dans le corps. Il peut même tuer son hôte, en cas de candidémie : lorsqu'il est trouvé en quantité dans le sang. Si c'était une question d'exposition au microbe, une simple hémorroïde serait mortelle pour la majorité des gens. Ce sont donc d'autres facteurs de maladie qui empêchent le corps de réguler normalement la propagation du candida. Le candida est accusé parce qu'il est un microbe (par croyance!!), alors qu'il n'est là que parce qu'autre chose ne va pas. Il est même possible que se présence soit une simple conséquence, sans rôle dans les décès qu'on lui attribue... Je n'irai pas jusqu'à vérifier cette hypothèse, peu importe : c'est un microbe inoffensif, il faut attaquer les causes.


L'hygiénisme réaliste : soigner sa santé et non sa maladie

La conception naturelle des êtres vivants est parfaite, car issue de la sélection naturelle.
Ce qui n’est pas adapté finit par disparaître. Contrairement à nos machines qui ne peuvent rien sans nous, le vivant s’adapte tout seul, par la force des choses : le manque d’adaptation au milieu empêche la pérennité de l’espèce, et d’autres espèces prennent sa place.
Certains êtres vivants se spécialisent pour s’adapter à un milieu stable, tandis que d’autres sont plus généralistes : ils sont moins adaptés à leur milieu actuel, mais en cas de changement ils ont plus de chance de s’adapter. Les spécialistes sont parfaits pour leur milieu, les généralistes sont parfaits pour changer de milieu.

La culture occidentale inclut la croyance que les maladies sont des signes que le corps humain est imparfait : on a des gènes inutiles, des organes inutiles ou dysfonctionnels qu’il vaut mieux supprimer, un système immunitaire qui des fois s’attaque à son propore corps sans raison, aucune défense contre les microbes pathogènes, une incapacité à survivre sans apport constants de nourriture et d’eau, un besoin vital de lait de vache, etc.

En réalité, nous avons un corps généraliste hyper adaptable et absolument parfait… pour des conditions naturelles.

Un peu de préhistoire…

Il y a 10 000 ans, par recherche de confort ou par pression démographique, nous avons abandonné notre vie de chasseur cueilleur suivant le troupeau et la végétation naturelle pour une vie de sédentaires agriculteurs.

Ce faisant nous avons dû modiifier par sélections successives les plantes et les animaux pour qu’ils répondent mieux à ce qu’on attendait d’eux : pousser n’importe où et concentrer rapidement de grandes quantités de calories.
A partir de plantes vertes amères avec des tous petits fruits acides et peu sucrés parfaitement adaptées à un milieu, nous avons créé des plantes incapables de se défendre seules, fabriquant d’énormes fruits ou tubercules gorgés de glucides. Les animaux sont évidemment plus difficiles à modifier, is sont bien plus complexes. Nous avons cepandant fabriqué des espèces ultra dociles qui fabriquent du muscle inutile. Le poulet est à ce niveau très impressionnant : on lui coupe les ailes à la naissance, et pourtant il se fabrique deux énormes blancs de poulet, là où devraient être de fins muscles rouges pour battre des ailes efficacement.
Ce mode de vie a provoqué une surpopulation, et nous avons dû manger de plus en plus de choses encore plus inappropriées pour compenser : les laitages et céréales.

Peu à peu nous nous adaptons à cette alimentation, mais ça prend du temps, beaucoup de temps ! Par exemple le simple fait de maintenir la production de lactase à l’âge adulte, une adaptation vraiment mineure qui ne permet que de digérer le lactose, est encore très largement minoritaire dans le monde et loin d’être universelle dans les pays où l’on consomme traditionnellement le plus de lait.

Pour ce qui est des additifs alimentaires et de toutes les autres pollutions subies actuellement dans les pays « développés », nous n’avons absolument pas eu l’occasion de nous y adapter.
On oublie trop souvent que la révolution industrielle nous a confrontés à des tas de pollutions nouvelles, auquel notre corps n’était pas préparé : métaux, dérivés de pétrole, produits chimiques divers dans l’eau, la nourriture, l’air, les produits ciniquement appelés « d’hygiène », les vêtements, les meubles, etc.
On aussi a tendance à oublier que le « bio », considéré aujourd’hui comme un luxe, était la règle générale il y a seulement 70 ans. C’est après la seconde guerre mondiale qu’on a utilisé les armes chimiques dans l’agriculture.

Notre espèce en réchappera, elle va être de plus en plus capable de gérer ces tas de poisons. Mais actuellement, nous souffrons de tout ça. Et quand notre corps a de mauvais réflexes (ou pas, j’y reviendrai!)



Métalliques

Mercure
On en trouve de grandes quantités dans les produits animaux aquatiques, les amalgames dentaires et les vaccins (thimérosal, thiomersal, timerfonate).
Aluminium
Dans l'eau du robinet, les additifs alimentaires, les médicaments anti-acide, les déodorants (y compris la pierre d'alun).
L'argile en contient beaucoup mais sous sa forme vraiment naturelle, solidement liée à la silice qui l'empêche de faire des dégat. Je n'ai pas su trancher sur cette question, il est possible que l'argile ait assez de silice pour absorber et évacuer en plus de l'aluminium accumulé dans l'intestin.

Les différences interindividuelles

Tous différents avec une base commune

Quand on parle de différences interindividuelles, il y a souvent deux camps : ceux qui nient les différences, et ceux qui nient les points communs.
Les humains ont deux yeux, quelques exceptions (les siamois) ne changent pas la règle générale et un autre nombre est une anormalité. De la même façon, les humains sont plus adaptés à la consommation de viande que de blé, même si c’est peut-être différent pour les indiens issus de longues lignées végétariennes.
Ceci est un exemple de différences par peuples, celles qui ont tendance à s’estomper car nous nous mélangeons de plus en plus.
A part l’âge et le sexe, les différences interindividuelles au sein d’un même peuple sont de deux ordres : il y a d’une part des différences d’héritage génétique qui entrainent dès la vie intra-utérine des différences de besoins (un peu plus de ci, un peu moins de ça), et d’autre part des différences acquises lorsque des circonstances augmentent ou provoquent des besoins (par ex. une intoxication aux métaux augmenterait les besoins en antioxydants) ou provoquent une intolérance (par ex. en provoquant une hyperperméabilite de l’intestin).

Avec tout ça, les besoins et les tolérances sont extrêmement variables. Il est bon de connaître des valeurs de référence (quand elles reposent sur la science…), mais il faut savoir qu’on peut en être très loin. Benjamin a fait un chouette article là-dessus.

Les maladies chroniques sont principalement féminines.

Si la prévalence n’est pas toujours claire, c’est dû à ce que j’appellerais l’hystérisation de la maladie : la culture machiste dans laquelle nous vivons favorise la croyance selon laquelle les femmes feraient de l’hystérie (invention de Freud, l’hystérie désigne une maladie psychologique créant des troubles physiques, mot issu de l’utérus!). L’histoire nous apprend que l’hystérie autrefois, comme l’hypocondrie aujourd’hui, était en réalité une croyance servant à masquer l’ignorance des médecins. Au fur et à mesure on découvre les mécanismes physiques et des soit-disant maladies psychosomatiques se retrouvent classées dans les maladies physiques.
Revenir aux bases de la vie est souvent éclairant.
Dans la plupart des espèces, le mâle a un rôle de reproducteur. Certains se suicident en s’accouplant, d’autres ont une durée de vie limitée, d’autres encore sont ultra minoritaires. Chez les mammifères, le mâle est généralement occupé strictement à conquérir puis défendre un territoire pour pouvoir multiplier les partenaires sexuelles. Dans ces cas là, la femelle enfante, nourrit et éduque les petits, collecte la nourriture et protège le clan… Ca vous rappelle quelque chose ?  
Le mâle, indispensable géniteur, n’a pas besoin de vivre aussi longtemps que la femelle pour jouer son rôle dans la perpétuation de l’espèce.
Là encore, c’est une simple question de choix : faut-il un moteur puissant ou durable ? Chez l’humain, l’homme est plus puissant mais moins durable que la femme.
Il est donc parfaitement logique que la femme souffre plus de maladies chroniques, où le corps manifeste sa résistance par des symptômes, que l’homme qui peut mourir du jour au lendemain d’une maladie silencieuse.

De plus nous allons de plus en plus vers le modèle de la femme qui gère tout toute seule, alors que chez l’humain comme chez les oiseaux, l’immense dépendance des enfants rend la tâche très difficile. L’homme est presque aussi multitâches que la femme (lui ne peut pas enfanter, même avec toute la volonté du monde) parce que la femme a besoin de lui pour autre chose que fournir du sperme.
Le travail des femmes, qui ne s’est pas substitué mais ajouté aux tâches de mère de famille ces dernières décennies, pousse les femmes plus que les hommes vers l’épuisement. Toute l’énergie qui passe dans une vie très active, c’est de l’énergie en moins pour le système immunitaire et tous les mécanismes d’entretien du corps.
La femme n’est pas plus fragile ou moins bien conçue, mais simplement prévue pour durer.
La médecine néglige les maladies chroniques, entre autres parce que les femmes en souffrent plus que les hommes.

Pire que ça, elle les provoque : quand on prend un médicament pour stopper un symptôme utile, on empêche le corps de régler le problème, on dérègle une mécanique très fine, et on rajoute de la toxicité. Les effets secondaires à court et moyen terme de la plupart des médicaments sont déjà impressionnants (si on est lucide sur leur pseudo rareté : c’est uniquement le signalement des liens entre un symptôme et un médicament, qui est rare!), et à long terme on ne sait même pas ce qu’ils provoquent.

Imaginons que vous avez un bateau qui rouille. Selon que vous souhaitiez faire le tour du monde ou juste une traversée de la manche, vous ne réagirez pas pareil. Pour le tour du monde il vous faudra gérer ce soucis, quite à immobiliser le bateau un bon moment. Maintenant si la rouille avance plus vite que vous à l’enlever, vous devrez abandonner votre projet. Malheuresement, une femme n’a pas la possibilité d’abandonner son projet de durer, il est programmé d’avance. Et généralement, on ne lui permet pas de s’immobiliser pour gérer le problème, pas avant que la rouille est quasiment gagné : qu’elle soit extrêmement malade.

Ne prenez pas la mouche messieurs, il y a aussi des malades chroniques parmi les hommes, chaque homme n’a aucune responsabilité dans les actes des autres hommes, et le machisme est autant propagé par les femmes que les hommes, même s’il les désavantage. Aucune misandrie ici, que de l’antisexisme.

Mieux vaut être vieux...

Car si on est vieux, on a été jeune avant !
Contrairement aux idées reçues, les personnes âgées ne sont pas forcément en moins bonne santé que les jeunes. En moyenne évidemment, la santé a plus de chance de s‘être dégradée quand on avance en âge, mais de nos jours chaque génération est plus mal en point que la précédente.
Rien de plus normal : nous continuons à nous éloigner toujours plus des conditions de vie adaptées à l’espèce, avec toujours plus de pollutions et toujours moins de réponses à nos besoins.
De plus, il existerait une transmission de la mère à l’enfant qui fait se cumuler les toxiques à taravers les générations : durant la grossesse, le futur enfant peut servir d’émonctoire, c’est à dire débarrasser la mère d’une partie de ses toxines en les donnant à l’enfant.
Ainsi des intoxiquées aux métaux lourds ont vu leur état de santé s’améliorer grâce à la grossesse… avant d’empirer à force de devoir gérer les lourdes pathologies de l’enfant, comme l’autisme ou le trouble de l’attention / hyperactivité.
Dans les cas moins spectaculaires, chaque mère donne à son enfant des toxines qu’elle a accumulées après la naissance, plus des toxines qu’elle a reçues de sa mère, celles qui ne s’éliminent pas facilement, comme les métaux.



Les vaccins

J'ose à peine aborder ce sujet, probablement le plus polémique qui existe...
Il me semble nécessaire d'en parler, car il est quasiment impossible de se faire une opinion juste : les sources d'informations choisissent presque toujours un camp, pour ou contre les vaccins dans leur ensemble, et ont tendance à oublier les nuances et prendre pour argent comptant tout argument allant dans leur sens.
Personnellement je ne suis ni pour ni contre les vaccins, mais pour la vérité et la santé.

Pour aborder objectivement ce sujet, il faut évidemment commencer par le commencement : quels sont les conflits d'intérêt des leaders d'opinion?
Chez les pour, nous avons l'industrie pharmaceutique, les pouvoirs publics qui sont au service de l'industrie (puisqu'eux n'ont aucun moyen propre : c'est l'argent qui dirige le monde et les Etats n'ont pas le contrôle de leur monnaie), les chercheurs de l'industrie, les médecins formés par l'industrie, les grands médias financés par l'industrie... Ca ne sent pas bon côté neutralité!
Chez les contre et les pas-tout-à-fait pour qui sont autant attaqués par les pour, nous avons les anti-système, les personnes concernées personnellement par des maladies qu'ils attribuent aux vaccins, et des gens arrivés là par hasard donc plus crédibles, comme le professeur Gherardi.
Ce dernier est celui qui m'inspire le plus confiance, parce qu'il n'a pas choisi de camp. Il raconte dans Toxic Story comment il a découvert par hasard la toxicité d'adjuvants vaccinaux et les résistances contre l'avancée de la science dans ce domaine.

Ensuite, comme on ne peut faire confiance à personne, on ne peut se baser que sur le raisonnement. Mais sans un minimum d'information, comment voir les incohérences?

Voyant comment ils calomnient tout scientifique qui trouve des résultats qui ne leur plaisent pas, j'ai décidé de m'appuyer uniquement sur les données reconnues par le camp des pour, et celles dont ils se désintéressent.

Sauf sur un point : l'existence d'effets secondaires graves à court terme. Les pour en nient l'existence alors que les témoignages pleuvent. La raison, c'est que le médecin de famille qui a fait le vaccin ne rapporte pas ces effets secondaires, persuadé qu'il est qu'ils sont imaginaires ou sans lien avec le vaccin.
On pourrait vérifier ça avec des études sérieuses, contre placebo pour le court terme et longitudinales pour le long terme... Ca n'est pas fait. En plus pour étudier le long terme, il faut que les groupes non vaccinés ne soient pas dans l'illégalité!

Chez les contre, on trouve de tout, du plus délirant au plus crédible. Chez les pour par contre, même les plus crédibles deviennent incohérents sur certains sujets.

La toxicité de l'aluminium est admise, mais pas dans un vaccin... Bizarre!
Les pour nous disent que de toutes façons on avale plein d'aluminium. Bon, je passe sur les raisons de ce fait abbérant et la notion de choix. Quand on avale quelque chose, on ne le met pas dans un muscle! On le met dans son tube digestif, et le système immunitaire dans son ensemble fonctionne, en particulier la barrière intestinale.
Confondre les quantités acceptables en ingestion et en injection, c'est comme si on disait que la pluie dehors remplit l'évier aussi bien que le robinet... Plus crédibles, les arguments des pour?
En plus, ces quantités acceptables sont parfaitement arbitraires.
Enfin, les données de toxicité de l'aluminium sont prouvées sur l'animal, les pour disent que ça n'a aucun rapport avec l'humain, soit, mais alors pourquoi se basent-ils uniquement sur une étude sur 2 lapins pour affirmer que l'aluminium est évacué rapidement du corps? (J'ai vérifié, c'est bien le cas des rapports très officiels et très provax..)

Sans données de confiance, on pourrait passer sa vie à essayer de vérifier chaque argument pour ou contre...

Ce que je sais :
- les effets à long terme de la vaccination sont bien trop méconnus pour qu'on puisse la conseiller ou l'imposer pour les maladies réellement mortelles et très contagieuses
- le rapport bénéfice/risque est clairement mauvais pour les autres
Je ne suis pas pour l'arrêt total de toute vaccination, mais pour qu'on fasse de véritables recherches sur les bénéfices et les risques de chaque vaccin pour chaque patient avant de l'utiliser.

Ce que je crois :
Vacciner c'est quoi? C'est obliger le corps à créer des anticorps contre un virus. Jusque là, pas de problème : c'est bien la confrontation à un virus qui permet au corps d'apprendre à s'en protéger.
Le problème, c'est qu'on nous dit que les adjuvants sont nécessaires : dans ce cas ce n'est pas le virus qui provoque la réaction attendue!
Donc si on met des adjuvants toxiques, c'est parce qu'ils sont toxiques : le corps ne réagit pas au virus inactivé, mais il réagit à la présence d'un élément toxique qui lui est associé.
Or on admet que l'adjuvant est celui qui provoque la réaction, mais pas son lien avec les maladies auto-immunes. Pourtant si la réaction au vaccin ne se fait pas sans adjuvant, ça veut bien dire qu'avec ou sans vaccin, la présence de l'adjuvant provoque des réactions immunitaires visant autre chose que l'adjuvant. Les pour admettent l'existence d'un "tampon vaccinal" des décennies après un vaccin, c'est-à-dire qu'il peut rester de l'aluminium. Comment donc peuvent-ils savoir que 20 ans après un vaccin, le corps ne continue pas à y réagir? Ils n'en savent rien! Logiquement, on devrait carrément partir du principe que toutes les maladies auto-immunes sont dues aux adjuvants vaccinaux, et mettre cette hypothèse à l'épreuve. Pourquoi toutes? Parce que la vaccination est le seul évènement dans une vie qui fabrique artificiellement une immunité.


Chélation

La chélation empire les choses pour les mauvais éliminateurs, donc on commence par des mini-doses pour voir si ça va.
Il faut aussi se protéger des ondes et champs électromagnétiques qui ouvrent la barrière hémato encéphalique.
Pour ne pas se réintoxiquer pdt l'élimination il faut prendre soin de son intestin avec un régime qui le protège (paléo aip, gaps, zéro carbs, sans solanacées, on ne réagit pas tous exactement pareil à tout).
La chélation chélate des minéraux vitaux, donc il faut prendre des compléments en minéraux très assimilables (biodisponibles).
Etant donnée la charge oxydante relâchée par les chélateurs (aucun n'est parfait, tous relâchent une partie des métaux toxiques dans la circulation), il serait probablement bon aussi de se gaver d'anti-oxydants, de la vitamine C pure par exemple.

Vitamines

Prendre des compléments?
Utilité
Risque
Qualité :

Vous trouverez partout une information absurde : les vitamines hydrosolubles ne seraient pas stockées du tout, il en faudrait un apport quotidien. Pourtant on les trouve dans des organes d'animaux, souvent le foie... qui donc les a stockées! Si on ne les stockait pas, ça voudrait dire qu'elles ne sont pas indispensables, donc qu'on pourrait s'en passer sans dommages... ça ne serait plus des vitamines. Il semblerait qu'elles soient à la fois moins vitales et moins stockées que les autres vitamines. Elles sont aussi plus facilement éliminées donc moins à risque de surdosage. Ce sont toutes les vitamines du groupe B et la vitamine C.
L'exemple de la vitamine B1 est édifiant : en cas de carence on conseille des doses 100 fois plus élevées que les besoins quotidien, tout en affirmant qu'on ne la stocke pas... Ca ne tient pas debout, ou il manque une explication primordiale.

Une théorie trouvée chez les zéro carbeurs (suivant un régime carnivore) concorde avec des infos issues de documentaires animaliers, des témoignages et ce que vivent les populations des terres arides : ces vitamines ne seraient indispensables que pour compenser les anti-nutriments des plantes (alcaloïdes, tanins etc. produits pour empoisonner leurs consommateurs) ou leur teneur en glucides (c'est le cas de la vitamine B1).

Il est possible aussi que la quantité de métaux et autres pollutions auxquelles l'humain moderne est soumis provoque des besoins extrêmement accrus, voire crée totalement des besoins en certaines vitamines. Dans ce cas il serait logique qu'on ne soit pas prévus pour les stocker, alors qu'elles seraient devenues indispensables. On pourrait aussi bénéficier de hautes doses ponctuelles pour gérer une pollution, alors que les vitamines sont censées être des acteurs du quotidien sans aucune utilité à haute dose.

Contrairement à la croyance populaire sous l'influence des médias, la plupart des vitamines se trouvent surtout dans les produits animaux. Seules les vitamines C, E et K sont principalement végétales.

La vitamine B1 se trouve surtout dans la levure, le porc et les céréales. On la décrit comme très abondante dans la nourriture, alors que la cuisson la détruit et que les chiffres donnés indiquent plutôt le contraire. De plus l'absorbtion digestive serait très faible. Les besoins sont d'environ 1,5mg/jour mais montent vite avec la consomatiion de glucides et d'alcool.

La vitamine C se trouve en quantité dans les plantes sauvages, baies, verdures et différents choux. On peut la prendre en complément, une forme chimique étant identique à la forme naturelle : l'acide L ascorbique dextrogyre, qu'on trouve à un excellent prix en oenologie. La vitamine C étant extrêmement acide, on peut l'adoucir en ajoutant un peu de bicarbonate. Ce mélange effervescent serait aussi efficace que la vitamine C seule... à vérifier.  Elle se dégrade à la chaleur et à la lumière.



Rien ne ressemble plus au système digestif d'un carnivore que le système digestif d'un omnivore. Les mammifères herbivores, en revanche, ont un système digestif très distinct : plusieurs estomacs peu acides, véritable machine à fermenter.
Les herbivores se nourrissent en réalité des productions des bactéries... des acides gras! Ils sont ruminants, car cette façon de se nourir est très peu efficace, il faut manger tout le temps pour produire suffisamment de calories.
Le lapin étant végétalien mais non ruminant, il a besoin de vitamine B12. Il produit pour ça 2 types de crottes : les banals déchets, et celles qu'il mange.
Ainsi, sans la symbiose avec des microbes, ces animaux ne survivraient pas. Les plantes ne sont pas un aliment pour les mammifères, mais pour leurs microbes symbiotiques.

Qualité des produits animaux

Nous l'avons vu, il est absurde de parler d'un aliment sans évoquer sa qualité. Manger un animal sain ou carencé et plein de parasites et métaux, ça n'a évidemment pas le même impact.
La fraicheur change tout : à la mort de l'animal, il se produit un ensemble de transformations qui modifient les propriétés de la viande. Il y a production d'acide lactique (dans la viande rouge) et d'amines biogènes (histamine, tyramine etc., surtout dans le poisson) qui provoquent des réactions immunitaires à la consommation. L'histamine produite dépend surtout des infection de l'animal de son vivant et des conditions de conservation. http://archimer.ifremer.fr/doc/1975/publication-2033.pdf


La couleur de la viande pourrait être un indicateur important :
Si les poissons et reptiles utilisent préférentiellement le glycogène, la chair rouge tournant au brun foncé à la cuisson témoigne d'une grande quantité d'oxygène dans les muscles, le pigment étant la myoglobine.
Le blanc de poulet si apprécié est une abomination créée artificiellement : un muscle pectoral de taille imposante sans myoglobine car parfaitement inutile.
http://www.editions-homme.fr/gibier/PDF/tendrete.pdf


Dans les animaux marins c'est bien connu, il y a énormément de métaux lourds, mercure en tête. En fait l'intoxication marine la plus remarquable est l'arsenic, un métalloïde.
On a pourtant tendance à les conseiller pour leur apport en deux omega 3 importants : EPA et DHA. Ces acides gras semblent bien indispensables pour la majorité, la conversion de l'omega 3 végétal ALA étant généralement très insuffisante. Je n'ai jamais trouvé la teneur en omega 3 du gras des gros animaux terrestres sauvages, qui pourrait théoriquement remplacer les sources marines. En élevage classique, il n'y aurait qu'un peu de DHA dans la cervelle d'après l'anses. En revanche les insectes seraient aussi riches en omega 3 que les poissons gras.
Il me semble plus prudent d'éviter les animaux marins et de se complémenter en omega 3 marins dont on a retiré les métaux lourds : 0.25g de chaque par jour (qui me coûtent 45 euros par an).

Dans les viandes, la part de graisse dans le muscle est un indicateur : sur le gibier, la graisse est toujours bien séparée du muscle, ce qui ne les empêche pas d'accumuler des réserves de graisse hors des muscles pour passer la disette de l'hiver (idem en pays chaud où l'hiver est la saison sèche, voir l'exemple de l'hippopotame : http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/hippopotame/178174 ).



TIPI, ou comment résoudre les émotions envahissantes : peur, colère, anxiété, stress, etc.

J'ai eu la chance de découvrir cette technique d'identification sensorielle des peurs inconscientes dans les meilleures conditions : sans interprétation théorique et avec un objectif parfaitement adapté en tête. Je crois qu'il est bon de la transmettre sans chercher à en savoir plus, car c'est un phénomène qui n'a lieu qu'en acceptant de lâcher le mental.
La présentation que j'en ai eue était celle-ci : https://www.youtube.com/watch?v=TFQzyOFaB2I

La part de la méthode TIPI accessible à tous, c'est hyper simple : quand l'émotion envahissante arrive (qu'on l'ait provoquée volontairement ou non), fermer les yeux, accueillir et observer avec curiosité les sensations physiques qu'elle provoque, en n'essayant pas de les modifier, mais au contraire de les laisser tranquille pour observer ce qui arrive naturellement.
Si ces sensations sont très pénibles, se souvenir qu'elles vont passer sans laisser de séquelles pour réussir à être plus curieux que souffrant. Si on ne sent rien de spécial, faire un "body scan" : passer tranquillement en revue tout son corps en se demandant quelles sensations on peut trouver dans les orteils, pieds, chevilles etc. jusqu'en haut du crâne : modification du pouls et de la pressions sanguine, douleur, tension, chaud, froid, fourmillement, serrement, relâchement, etc.
Si l'émotion n'est ni trop forte pour laisser la possibilité d'accueillir ainsi les sensations, ni trop faible pour s'accompagner d'un minimum de sensations physiques, alors elle disparaitra en quelques minutes  et la même situation ne la provoquera plus.

Pourquoi est-ce que ça fonctionne?

C'est le paroxysme de l'hygiénisme : faire confiance à son corps et le laisser enfin faire son travail!
Depuis notre naissance nos émotions sont chassées, persécutées, dénigrées...
On nous a appris que les émotions et ressentis devaient subir un contrôle strict : "ne pleure pas", "calme-toi", "c'est rien", "t'as pas mal", "arrête de faire la tête"...
On nous a appris que certaines émotions étaient obligatoires, quand bien même nous ne pouvons pas les décider! Il faut être triste aux enterrements et pas aux mariages, être empathique dans des conditions bien précises et pas d'autres, ne pas rire seul mais rire quand les autres rient, etc.
On nous a même appris qu'une vraie émotion ne passait pas rapidement, en traitant de simulateurs ou comédiens les enfants qui passent rapidement d'une émotion à une autre.
On nous a donc enseigné qu'on devait retenir nos émotions et en contrôler l'expression, de la même façon qu'on fait toute une gymnastique pour retenir un pet... alors que la seule chose saine à faire est de le laisser sortir sans aucun contrôle.
"Faire Tipi", c'est tout simplement revenir à une réaction naturelle et saine vis-à-vis de ses émotions : sans en avoir peur, sans croire qu'elles doivent forcément durer, sans se forcer à tenter de les modifier ou de leur donner une importance qu'elles n'ont pas, on se contente d'observer et laisser faire.
Evidemment que ça marche! Il n'y a là aucune magie, aucune croyance, seulement la réalité du corps humain : il sait gérer si on le laisse faire. Et lui ne fait pas de symptomatique, il règle le problème pour de bon. Nous ne savons pas quels neurotransmetteurs, quels neurones, quelles hormones etc. sont en jeu, et alors? Nous n'avons pas besoin de le savoir, seulement de le laisser faire ce pour quoi il est prévu en arrêtant d'entraver son fonctionnement.


Les réflexes néfastes

⦁    Le plus mauvais réflexe face à un symptôme, c'est le plus courant : aller voir un médecin de proximité.
Cette profession a toujours souffert d'un ego surdimensionné qui pousse les médecins à faire n'importe quoi avec leurs patients. Pour avoir la bonne attitude face à se santé, il faut absolument le considérer pour ce qu'il est : une personne qui a brillé par sa capacité à apprendre par coeur sans remise en cause des enseignements dispensés, directement et indirectement, par l'industrie pharmaceutique : ce sont elles qui financent les études "scientifiques", les éminaires, les visiteurs médicaux, le matériel pédagogique, etc. Il y a des exceptions, comme chez les concierges ou les routiers, mais dans l'ensemble ils ne sont pas spécialement intelligents, ils n'ont pas eu de formation scientifique (celle qui apprend à être objectif), ils en savent étonnamment peu sur le fonctionnement du corps humain, et surtout ils sont dans le déni de leur propre ignorance. C'est ce dernier point qui est dangereux pour les patients confiants.
Tout médecin qui affiche dans sa salle d'attente des publicités déguisées en prévention qui vous disent de vous gaver de produits laitiers et d'éviter les graisses saturés est soit ignorant, soit criminel... Eh oui, c'est la grande majorité.

La journée d'un médecin, c'est une grande partie de gens qui viennent chercher du doliprane pour un rhume (et repartent avec 10 prescriptions de médicaments inutiles et toxiques), un arrêt de travail pour une gastro (utile mais de moins en moins accordé), ou une oreille attentive pour une solitude... rien que votre concierge ne sache faire.
Lorsqu'un vrai cas se présente, la plupart du temps le médecin dit que c'est psychologique sans raison ou propose une traitement au hasard.

⦁    Croire que "c'est psychosomatique"



⦁    Prendre un traitement efficace ayant un mauvais rapport bénéfice/risque

Apprendre à lire une notice
iatrogène
Les traitements alternatifs ne sont pas mieux! Et eux n'ont même pas de notice pour qu'on évalue les risques! Argent colloidal, huiles essentielles, huile de ricin, hydrothérapie du colon, sauna, bains dérivatifs, pour une fois je mets tout ça dans le même panier.
Tous ces traitements pourraient dans certains cas avoir un bon rapport bénéfice/risque, par exemple pour juguler une infection aigue et dangereuse en complément d'un travail sur les causes, mais ce sont des traitements agressifs qui sont souvent utilisés au hasard et pour des symptômes mineurs, ce qui est tout à fait dysproportionné.
L'argent colloidal est le plus hallucinant. Nous avons là un produit artificiel à base d'un métal toxique, judicieusement interdit en interne, hyper rentable pour ses vendeurs... pourtant plein de gens croient que c'est naturel, sans danger et anticapitaliste...
Il est efficace, ça c'est certain. Comme n'importe quel antiseptique, il tue les microbes. Les microbes pathogènes, les microbes indispensables, les cellules de notre corps... c'est simple, il extermine tout sur son passage! Et il s'accumule, comme en témoignent les cas extrêmes d'argyrie, provoquant des troubles graves mais moins visibles (principalement neurologiques et cardiaques), comme les autres métaux toxiques.
Le peu de recherches concernant les effets des métaux (peut-être parce qu'on nous en injecte de force?) rend moins risquée l'utilisation d'antibiotiques, là au moins on sait à quoi s'en tenir... et eux ne s'attaquent pas à tout le vivant!
Dans certains cas on doit désinfecter son eau de boisson... l'eau de javel à la bonne dose fonctionne. Elle aussi est toxique, c'est bien pour ça qu'elle désinfecte, mais elle ne se compose que d'éléments chimiques que le corps humain sait gérer et qui sont indispensables à la vie : chlore, sodium, oxygène, eau. L'eau de javel est donc préférable à l'argent colloïdal!

⦁    Insister dans des voies alternatives non scientifiques
Le phénomène du placebo (traitement efficace par sa seule action psychologique, présent dans toute forme de traitement, avec ou sans effets biologiques directs) n'a pas d'explication officielle, mais la psychologie (science du psychisme, à ne pas confondre avec la psychanalyse, la psychothérapie, la psychiatrie etc.) apporte pas mal d'éléments qui permettent de deviner ses mécanismes.
Dans une culture anti santé (il ne faut pas écouter sa fatigue, ses douleurs, ses besoins ; il faut se faire plaisir avec différentes drogues ; il faut faire taire les symptômes au lieu de les écouter etc.), recevoir un "traitement" est le signal culturel qui autorise le corps à se concentrer sur sa guérison plutôt que sur le maintient des activités quotidiennes.
Ce signal pourrait dans certains cas être suffisant pour que les voies normales d'auto-guérison gèrent la cause d'un symptôme, juste assez pour que le symptôme disparaisse. Concrètement, ça veut dire par exemple déplacer une petite quantité de métal toxique pour ne plus avoir mal à l'orteil. Ca ne règle pas que le symptôme, mais en s'attaquant bien à sa cause.
Ce signal pourrait aussi masquer un symptôme sans toucher à la cause, en ayant un effet "purement psychologique", car les hormones et neuro-transmetteurs de la stimulation et du plaisir inhibent les messagers désagréables.
En général le placebo lui-même est probablement bien plus anodin que ce qui amené à le prendre : le réel soin qu'on a reçu, c'est la réponse à des besoins psycho-sociaux : être accueilli, entendu, reconnu. L'interaction positive, soutenante, chaleureuse qui précède la prescription ou le conseil du placebo a un réel effet thérapeutique, puisqu'elle répond à des besoins vitaux. Même un placebo acheté sans aucun interaction répond à des besoins psycho-sociaux : se sentir maitre de son destin, développer la confiance en soi, résoudre un conflit psychique en prenant une décision, etc.
Ensuite, chaque fois qu'on utilise ce placebo, c'est un rappel qui réactive un peu les voies neuronales et hormonales qui ont été en jeu, ce qui pourrait reproduire les effets positifs.
Plein de choses positives donc, mais il y a le revers de la médaille. Si ponctuellement le placebo est une béquille très appréciable, s'entêter dans cette voie empêche de trouver de réelles solutions et fait durer la cause réelle, amplifiant le déséquilibre du terrain. Exception faite des troubles où une carence psychosociale serait le facteur principal, le placebo ne fait au mieux que masquer la maladie.... en fait, il ne s'agirait plus dans ce cas d'un placebo, mais d'un réel traitement de la cause.

Les approches thérapeutiques qui ne reposent pas sur la science (attention je ne parle pas ici des études publiées mais d'une démarche objective comme expliqué précédemment!) se servent de l'effet placebo et du hasard.
Si le traitement a une action biologique directe, le prescrire sans objectivité c'est faire confiance au hasard : des fois l'action biologique sera aidante, d'autres fois elle sera néfaste. On ne joue pas avec la santé des gens, ces pratiques sont à dénoncer pour protéger la population!

Si le traitement est inoffensif, il ne pourra produire que l'effet placebo et l'effet nocebo.
L'effet nocebo, c'est quand un traitement provoque des effets indésirables par une action psychologique. Il peut découler des mêmes mécanismes : symptôme provoqué par une action sur la cause (par ex. le métal délogé de l'orteil peut aller faire mal ailleurs), diminution du masquage d'un symptôme par les messagers chimiques, ou réminiscence négative de ce qui a déclenché la prise du traitement.

Les besoins psychosociaux sont tellement délaissés dans notre culture que je ne parle jamais des placebos sans expliquer dans le détail cette utilité potentielle des placebos : dans tous les cas, mieux vaut ça que des traitements toxiques, et quelqu'un qui souffre cherchera toujours de nouvelles voies si on le décourage d'utiliser un placebo... qui pourraient être réellement néfastes. Mais tant qu'on utilise des placebos, on ne traite pas la cause.

Le cadre étant bien posé, voici quelques exemples de ces traitements non scientifiques (à ce jour : certaines sont correctes au regard des connaissances accessibles en leur temps), et ce que j'en pense à ce stade :
- néfastes : cures du Dr Clark, médecine traditionnelle de n'importe quel pays (chinoise, ayurveda, humeurs, etc.), régimes alimentaires cités précédemment,
- plutôt des placebos acceptables : psychanalyse (héritage de Freud, qui n'avait quasiment bon que sur l'existence de l'inconscient), astrologie, reiki, magnetisme, foi religieuse, homéopathie...

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